Depuis le début des temps, les peuples vivaient chacun de leur côté, ignorant tout de leurs voisin, certains se séparèrent entre eux pour créer de nouvelles races et se couper de leurs cousins.
Mais un beau jour l'une de ces races devint ambicieuse et voulu élargir son territoire, entrainant alors la connection de tous ces mondes étrangers.
La cupidité gagna tous les clans petit à petit et une grande guerre sanglante éclata en réponse de la rencontre de ces peuples si différents.
De nombreux morts et de nombreuses pertes en résultèrent, certains clans choisirent de s'unir contre d'autres et vice versa.
Les prairies verdoyantes devinrent terres arrides abreuvées de sang, les pluie se firent noires comme de l'encre, le ciel recouvert de nuages noirs ne laissait jamais savoir si c'était le jour ou la nuit.
En ces temps de disette et de misère, la vie était rude. Les gens des peuples ne partant pas en guerre, furent bientôt touchée par une épidémie dont la source fut l'entassement des cadavres pourrissant à l'air libre remplis de haine... Le Fléau de Lazir. Cette maladie contagieuse s'empare de vous et vous transforme petit à petit en créature mie morte, mie vivante en décomposition dont les seuls besions que leur dicte leur cerveau putréfié est de proliférer et se nourir.
Les gens contaminés furent mis en quarantaine, mais les rats continuèrent de répendre l'infection et celà arriva à toucher les guerriers qui tombaient peu à peu sous cette malédiction, malgrés cet avertissement divin, la guerre continua durant des siècles.
Malgrés celà, il existait une poignée de personnes de race différents qui n'avaient pas les même points de vue. Ils décidèrent d'invoquer les différents dieux afin de mettre fin à cette guerre, parmis eux, l'héritière du trône des humains. Les dieux acceptèrent la requête, mais à la condition d'un sacrifice pour prouver la vérité des voeux des priants.
Les priants sacrifièrent alors deux d'entre eux, les plus motivés, une jeune lycan et la princesse des humains.
Au dessus du champ de bataille apparurent alors un cavalier chevauchant une majestueuse dragonne blanche comme la plus pure des lumière qui sépara les peuple et leur insuffla sagesse et compassion.
Le peuple qui avait engendré cette guerre afin que les autres ne s'entretuent et qu'il n'ai plus qu'à récolter les territoires perdus une fois tous les autres morts, fut exilé dans une région obscure introuvable à ce jour.
De la mort des deux personnes sacrifiées, une malédiction dit qu'afin qu'une telle chose ne se reproduise, deux enfants, d'une race au hazard seraient touchés par des métamorphoses afin de veuiller à la paix entre les peules.
Sam 20 Jan - 21:11
